Cétait en marge des travaux du 30è sommet de l’Union Africaine à Addis Abeba en Ethiopie. En si peu de temps, le Président Faure GNASSINGBE à 50 ans réussit le miracle de réconciliation nationale et de relance économique de son pays. Il rêve de faire du Togo un pôle de développement de la sous-région ouest-africaine.

La loi électorale continue à alimenter les débats. Les propositions du Député N’singi Pululu révoltent certains. Pour être Président de la République , il faut être congolais d’origine. C’est-à-dire né de père et de mère congolais. » A-t-il proposé comme amendement à la loi électorale en discussion à l’Assemblée Nationale. Néanmoins , certains pensent qu’il faut mettre des gardes fous à la fonction Président de la République. C’est le cas de Joseph Mudimbi. Il est professeur à l’Université de Lubumbashi, à la faculté des sciences politiques . Je pense qu’un peu partout dans le monde, la fonction du Président de la République est protégée . Dit le professeur Joseph Mudimbi réagissant sur les propositions du député Nsingi Pululu . Pour lui , même les nations très avancées en démocratie fixent des limites. » À titre illustratif, les États-Unis d’Amérique présentés aujourd’hui comme le modèle de la démocratie. Il est admis que tout américain ne peut prétendre devenir Président de la République. Ne peut être Président de la République que le citoyen américain de naissance. Tout américain par naturalisation ne peut même pas rêver un seul instant le devenir. La loi lui en interdit ». Explique encore le professeur. Une loi sur mesure ? Si les autres nations protègent cette fonction , la RDC peut aussi le faire. Mais , la difficulté , ce que certains pensent que c’est une loi sur mesure . En les amendements introduits sur les critères d’éligibilité du candidat Président de la République paraissent liberticides, parce qu’on cherche à individualiser l’affaire . On pensent qu’ils sont envisagés dans le seul but de casser l’élan de certaines personnes qui veulent briguer ce mandat. » Explique Joseph Mudimbi, alors que la loi, elle, est impersonnelle. Depuis quelques temps, les partisans de Moïse Katumbi ,candidat potentiel à la présidentielle de 2023 , pensent que ces amendements visent leur leader. En même temps, quelques structures de la Société civile sont vent debout contre ces propositions. Elles promettent de mener des actions pour stopper l,insertion de ces amendements dans la version définitive de la loi. Avis Facebook pour l’UE! Vous devez vous connecter pour afficher et publier des commentaires FB!

Rêverque vous voyez le président d’un organisme public , prédit vous chercherez élévation et d’être récompensé en recevant une position de confiance élevé . Pour voir une recherche de La première organisation politico-militaire tchadienne est le Front de Libération Nationale du Tchad, crée en 1966 sur l’initiative du feu Ibrahim Abatcha. En 1968, suite aux dissensions intervenues au sein du FROLINAT, d’autres groupes armés ont vu le jour. Plus tard, après la guerre civile des années 1979-1980, d’autres mouvements politico-militaires sont apparus, lors des rencontres de réconciliation nationale tenues au Nigeria. Ainsi ā Lagos, les leaders de ces organisations ont manifesté leur désir de se regrouper au sein d’un Gouvernement d’Union Nationale de Transition/GUNT, placé sous la direction du président Goukouni Weddeye. Mais dans la gestion pratique du pouvoir politique, ces leaders et chefs de tendance politico-militaires n’ont malheureusement pas démontré leur capacité de travailler ensemble pour sauver le pays et épargner les populations tchadiennes des conflits armés. Aujourd’hui, soit plus de vingt-cinq ans après, quelle est la situation des organisations politico-militaires tchadiennes ? En fait, combien sont-elles réellement ? Quelle stratégie adoptent-elles face au pouvoir de NDjaména ? Quelle alternative proposent-elles au peuple tchadien? Leurs leaders ont-ils encore la volonté et la capacité de prendre le pouvoir? Seront-ils en mesure de gouverner un jour le pays, sans tomber dans les travers de leurs intérêts personnels ? Bref, pourrons-t-ils sauver le Tchad ? La prise de pouvoir par les armes est-elle encore possible ou du moins acceptée dans le contexte international actuel ? La Constitution tchadienne issue de la Conférence Nationale Souveraine et adoptée par référendum, interdit toute prise de pouvoir par les armes et suggère la désobéissance pacifique des tchadiens, au cas où cela se produirait. Alors, quelle autre alternative serait-t-elle possible ? Ces Organisations politico-militaires pourront-elles s’engager à participer aux prochaines élections présidentielles et législatives ? Mais avant cela, peuvent-elles adopter ensemble et proposer une plateforme réaliste de négociation politique sérieuse avec le gouvernement tchadien ? Auront-elles le temps nécessaire de le faire ou le voudront-elles ? Le régime actuel de NDjaména accepterait-il de telle initiative ou démarche ? L’intérêt supérieur la nation tchadienne ne mérite-t-il pas que les protagonistes et adversaires tchadiens ne trouvent enfin une issue politique consensuelle ? Cela éviterait ă nos populations d’interminables conflits qui deviennent un réel obstacle du développement économique et social du pays. Certes, il n’est pas question de procéder ici ă une classification rétrospective de ces organisations, moins encore de développer l’historique de leurs activités. Et comme, nous n’avons pas de préférence particulière pour tel Mouvement ou Organisation par rapport ă tel autre, cela nous permet d’aborder cette réflexion sans préjugé, ni jugement de valeur et de présenter notre opinion de manière simple sur cette question assez sensible et délicate. Peut-on savoir, si les organisations politico-militaires tchadiennes existent encore ? Depuis un certain temps, il n’y a pas d’échos majeurs de leurs activités militaires sur le terrain. Auparavant, il y avait quelques tentatives de regroupement et de réunion par-ci et par-lă. En fait, depuis la création du Frolinat aujourd’hui placé sous la direction du président Goukouni Weddeye, jusqu’ā nos jours, il y avait plusieurs mouvements ou groupes politico-militaires. Certains sont anciens et d’autres de création récente. Compte tenu de la confusion même de leur Statut et surtout de leurs activités, il n’est pas facile de les identifier tous. Mais on peut citer quelques-uns uns comme, le CDR d’Acheikh Ibn Oumar, le MDD de Brahim Malllah, le MDJT du feu Youssouf Togoïmi, le CSNPD du feu Ketté Moise, le FDP du Dr. Nahor Mahmoud, les FARF du feu Laokein Bardé, le FNTR de Mahamat Moussa, le FPRN de Alio Abdoulaye, le RAFAT de Adoum Moussa Seif, le MUR de Gaillet Bourkoumandah ou encore la CDDC de Hassaballah Soubiane, énumération relative n’est pas exhaustive. Qu’elles soient divergentes ou semblables, certaines avaient réussi à constituer des alliances pour mener ensemble des actions communes. Ainsi les conclaves de leurs réunions avaient abouti ā des regroupements tels, le Front Uni pour le Développement et le Progrès/FUDP ou encore l’Union des Forces pour le Changement/UFC. Mais les activités réellement connues de ces regroupements se limitent généralement ā des publications communes des Communiqués de presse. Ainsi, les leaders de ces organisations, résident à l’extérieur et circulent un peu partout en Afrique, en Europe, aux États-Unis et au Canada. Certains sont mêmes poursuivis en justice, mais ils prennent le chemin de l’exil sous le couvert de l’opposition politique. Quelques rares parmi eux, semblent déterminés et engagés ă apporter un réel changement du système politique tchadien. Alors que les autres, en nombre de plus en plus croissant et souvent de moralité douteuse, se distinguent surtout par leur opportunisme de politique politicienne et sèment parfois, la confusion au sein de l’Opposition politico-militaire. Néanmoins, tous ces Groupes, Mouvements ou Organisations politico-militaires suivent activement l’évolution politique du Tchad et tentent d’influencer le cours de son histoire politique contemporaine. S’agissant de leurs activités opérationnelles, on peut noter - Certains comme le MDJT, semblent avoir des combattants armés sur le terrain et continuent de temps ă autre ă mener des offensives militaires sporadiques contre les forces gouvernementales, dans les régions Nord du pays. Mais depuis le décès de leur chef, feu Youssouf Togoïmi et avec le départ de certains de leurs dirigeants, leurs actions militaires restent limitées. Aussi, la composition tribale de leur organisation, et l’éloignement de leur zone d’opérations par rapport ā la capitale tchadienne où s’exerce la réalité du pouvoir politique, constituent un de leurs grands handicapes. - D’autres comme le du feu Bâchar transformé en FNTR, faute de combattants sur le terrain ou encore par simple choix volontaire inspiré de la“real politic”, ont abandonné la lutte armée et la prise de pouvoir par les armes. Leurs dirigeants ont décidé de continuer la lutte politique de manière pacifique, tout en utilisant des méthodes modernes de communication avec leur site web, Al Wihdah. Le Web Site est certes un outil important, mais faut-il encore présenter des informations objectives pour être crédible devant l’opinion publique nationale et internationale. S’il faut s’en servir seulement comme un moyen de propagande politicienne et de désinformation, cela n’améliorerait pas la situation des peuples du Tchad. - D’autres organisations, regroupant quelques membres de la diaspora tchadienne, se sont transformées en partis politiques en exil. Celles-ci pourraient avoir peut-être quelques sympathisants à l’intérieur du pays, mais n’ont pas d’implantation des cellules locales, ni de réelles activités sur le terrain. En effet, leur activisme n’a pas grand impact sur les populations tchadiennes. - Aussi, il y a d’autres organisations qui sont restées hybrides, c’est-à -dire se considérant parfois comme de groupes ou mouvements politico-militaires et parfois comme des partis politiques, du fait qu’elles n’ont pas assez ou pas du tout des troupes sur le terrain, ni suffisamment des militants de base sur le territoire national. En effet, leur activisme n’a pas d’effet sur la grande masse des populations tchadiennes souvent indifférentes. - Parmi ces dernières, en cas de difficulté d’existence, certaines essaient d’impressionner le régime en place au Tchad, pour avoir une porte de sortie honorable et composer avec le pouvoir de NDjaména. D’autres par contre, malgré la dissidence de certains de leurs membres, persistent et continuent ă résister pour aboutir un jour ă un changement radical ou du moins profond de l’actuel régime politique du Tchad. Certes, il n’est pas interdit de rêver en politique... -Il y a également quelques mouvements ou organisations dont les dirigeants ne trouvent leur salut qu’en résidant de manière permanente à l’étranger pour le besoin de leur cause, souvent inavouée ou exprimée de manière confuse et contradictoire. Ces Âéternels opposants» se considérant eux-mêmes comme Âdes purs et durs», font de l’opposition politico-militaire, un outil de marchandage pour ne pas dire Âmendicité» auprès de certains officiels, ministres, ou chefs d’Etat des pays amis du Tchad. - Enfin, il y’a des mouvements qui n’existent que de nom et dont les dirigeants en quête d’audience politique, tentent d’impressionner l’opinion nationale et internationale par la publication des communiqués et décisions de nomination de leurs représentants, dont ils ne les connaissent que superficiellement et n’ont aucun contrôle. Ils préparent avec tapage des réunions dites de  concertation générale en vue d’adopter une plate-forme commune de l’ensemble de l’opposition tchadienne », mais n’aboutissent ă rien de sérieux et crédible. Pire encore, faute d’argumentations politiques convaincantes ou par incapacité de présenter une analyse profonde et claire de la situation du pays, ils se démarquent souvent par des diatribes stériles, contre le président Idriss Déby. Ces nouveaux politiciens, qualifiés par certains tchadiens  d’arrivistes », en tentant de se hisser au plus vite possible par rapport aux autres opposants tchadiens, s’en prennent parfois maladroitement ă d’autres leaders de l’opposition politique opérant ă l’intérieur du pays de manière pacifique, ou même contre tel autre chef politico-militaire qui semble leur porter ombrage. Face ă de telle situation que pourrait-on encore espérer des mouvements et organisations politico-militaires ? Depuis combien de temps les populations civiles tchadiennes ont fait recours ă la lutte armée ? Pourquoi certains ont-ils opté pour la prise de pouvoir par les armes ? Les victoires militaires n’ont jamais apporté de solution définitive aux conflits du Tchad, moins encore de paix réelle aux populations tchadiennes. Et malgré les multiples interventions des forces étrangères françaises et libyennes aux côtés des forces gouvernementales tchadiennes, cela n’a pas éradiqué la rébellion armée, moins encore rétablir la paix définitive et la sécurité dans le pays. Combien de perte de vies humaines notre pays a-t-il connues? Les leaders et dirigeants politiques actuels, de l’Opposition ou du Pouvoir en place ă Ndjaména, ont-ils évalué les conséquences des affrontements armés dans notre pays ? Les responsables politiques de tous les régimes qui se sont succédés depuis l’accession de notre pays ă l’indépendance, ont-ils tiré les leçons de leur expérience politique passée ? Ont-ils vraiment expliqué ă l’élite politique actuelle, la nécessité de bâtir un Etat viable basé sur le respect des libertés et droits fondamentaux des tchadiens? Pour régler aujourd’hui nos différends politiques qui sont certes surmontables, n’est-il pas enfin temps d’amorcer l’approche de négociation pacifique sérieuse et non de simple ralliement nous conduisant de facto au parti unique, méthode politique anachronique déjă révolue des périodes des anciennes dictatures africaines.  Les premières émeutes populaires des années 1963 ă Fort-Lamy actuelle NDjaména ne découlent-elles pas de l’interdiction du multipartisme par le feu président François/NGarta Tombalbaye et de l’instauration du parti unique, le PPT-RDA? La création de la première organisation politico-militaire, le Frolinat en 1966, n’est-elle pas une réaction contre les exactions des forces gouvernementales sur les populations civiles ? Le retard actuel de notre pays par rapport aux Etats de la sous région dans le continent, serait-il pas en partie dŠā nos interminables conflits politiques et affrontements armés? La lutte armée serait-elle plus efficace que la confrontation pacifique de politique partisanne ? En conformité avec le contexte international de l’époque, et suite au renversement du régime dictatorial du président Hissein Habré, le multipartisme a été solennellement réintroduit au Tchad depuis 1990 par le président Idriss Déby. Aucun tchadien ne s’est opposé ă sa restauration, même les mouvements politico-militaires. Alors, pourquoi ne pas participer ă sa consolidation afin de bâtir des institutions étatiques crédibles dans notre pays ? La volonté politique des leaders et gouvernants au pouvoir semblait parfois faire défaut. En effet, cette volonté politique devrait accompagner les déclarations et décisions publiques. Mais faut-il encore que nos cadres et élites intellectuels chargés de son exécution l’appliquent de manière sérieuse et sans complaisance. Cela devrait se faire dans la gestion quotidienne des affaires publiques et surtout dans l’organisation, le déroulement et le suivi des opérations électorales aux niveaux locales, et nationales. Ainsi de là , résulterons des institutions fiables qui nous éviterait les multiples recours à la lutte armée, mais ne génerait pas les contestations politiques intempestives qui sont parfois nécessaires à l’évolution de la dialectique démocratique. Le drame du peuple tchadien est que la plus part des dirigeants politico-militaires, certains de nos leaders politiques et beaucoup même de nos cadres et intellectuels, n’ont d’autres objectifs que de préserver leurs intérêts personnels. La défense de leur région vient souvent avant les préoccupations nationales et d’intérêt général. La situation des organisations politico-militaires est complexe, mais elle ne doit pas faire obstruction à l’évolution du développement économique et social du pays. Les mouvements politico-militaires doivent comprendre l’évidence que la prise de pouvoir par les armes est aujourd’hui révolue. S’ils transforment leurs organisations en partis politiques de l’Opposition, cela serait salutaire pour les Tchadiens. Mais faut-il encore être en mesure de dégager de réelle stratégie de lutte pour la prise de pouvoir de manière légale et pacifique. Certains vont évoquer sûrement les problèmes de fraudes électorales, mais le vrai enjeu dans toute élection, peut se résumer en deux points importants -D’abord, la crédibilité des candidats eux-mêmes, c’est ce qui fait réellement défaut chez nos politico-militaires, car ils se sont presque tous discrédités devant l’opinion publique nationale et n’arrivent plus ā convaincre les populations tchadiennes du bien fondé de leurs actions militaires ou politiques. - Avoir la capacité de mettre en place des structures politiques ā dimension nationale, qui peuvent couvrir et suivre l’organisation et le déroulement des opérations électorales sur l’ensemble du pays. Là -aussi, vu les stratégies et calculs régionalistes ou tribaux de nos leaders politico-militaires, leurs succès au niveau national semblerait hypothétiques, pour ne pas dire, serait aussi un fiasco comme dans leurs activités militaires. La lutte politico-militaire est certes difficile et longue dans un pays comme le Tchad. Mais, la confrontation de politique partisane n’est pas aussi simple, ni donné ā tout le monde, moins encore aux aventuristes. Après une profonde observation des acteurs et leaders politico-militaires, des enjeux qui les motivent et surtout des stratégies mises en place, il serait utile de rappeler à ces frères, qu’il est temps de cesser de perdre le temps et d’entamer courageusement une nouvelle phase réaliste de la vie politique tchadienne. Cela épargnerait á notre pays surtout la perte d’autres vies humaines. Mais aussi, c’est par un réel changement de méthode de gouvernance que le pourvoir de N’Djaména pourrait convaincre nos frères politico-militaires à participer au dialogue ouvert et ā la reconstruction du pays afin d’assurer l’épanouissement des populations tchadiennes. Ainsi, nous espérons que cette réflexion sur les politico-militaires pourrait nous amener tous à réfléchir d’avantage et d’œuvrer ensemble pour bâtir enfin un Etat uni et crédible où toutes les sensibilités politiques pourrons s’exprimer dans le respect des droits et libertés fondamentales, en vue d’une alternance démocratique pacifique. Dr. Hassane Mayo-Abakaka
Lavictoire d’Emmanuel Macron à la présidentielle française a soulevé des réactions enthousiastes auprès de plusieurs congolais en général et particulièrement chez les acteurs politiques de l
Réservé aux abonnés Publié le 13/12/2021 à 2031, Mis à jour le 13/12/2021 à 2031 Silvio Berlusconi, le 3 octobre, après avoir voté lors de l’élection municipale à Milan. FLAVIO LO SCALZO/REUTERS DÉCRYPTAGE - Âgé de 85 ans, l’ex-président du Conseil fait campagne dans l’espoir d’être élu président de la République en janvier prochain. À RomeAlors que Silvio Berlusconi, 85 ans, est dit mourant à chaque convocation devant le juge pour ses affaires de mœurs, l’élection du président de la République fin janvier par les 1 008 grands électeurs a réveillé ses ambitions et sa vitalité. Il n’est pas encore officiellement candidat, pour ne pas se faire griller».À lire aussiLa famille Berlusconi les cinq héritiers du CavaliereMais les opérations séduction qu’il lance depuis des semaines à l’égard de tous les partis, y compris vers le Mouvement 5 étoiles M5S dont il a toujours dit le plus grand mal, sont bien le signe qu’il s’y prépare très activement», décode Giovanni Orsina, politologue spécialiste de la droite italienne et du président de Forza Italia à l’université Luiss. Il ajoute Silvio Berlusconi, qui estime être l’homme politique italien le plus important de la fin du XXe et du début du XXIe siècle, considère que l’Italie n’a pas reconnu son importance dans l’histoire. Se faire élire président de la République en fin de carrière serait pour lui une réhabilitation de son rôle et… Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 80% à liberté n’a pas de frontière, comme votre à lire votre article pour 0,99€ le premier mois Déjà abonné ? Connectez-vous
ChristopheBéchu, le maire LR d’Angers, rêvait de devenir ministre. Il n’entre pas (pour l’instant) au gouvernement, mais pour son soutien (tardif)*, le président de la République l’a
Nommé le samedi 20 août 2022 par le Président de la Transition, le Colonel Mamadi Doumbouya, Aly Seydouba Soumah est le nouveau ministre de l’Énergie et des Hydrocarbures. Agé de 48 ans, le tout nouveau chef du département en charge de l’Énergie et des Hydrocarbures est un technicien chevronné, un fiscaliste et un analyste financier, dont les compétences se sont accrues au fil des années de formations, de voyages, de contacts et de travaux effectués. Après de brillantes études primaires, le jeune Aly Seydouba Soumah décroche ses Baccalauréats première et deuxième parties en 1992 et 1993 à Conakry, au Lycée Donka, dans la Commune de Dixinn. De là, il obtient son Diplôme d’Études Universitaires Générales en Économie avant de décrocher la Licence, le Diplôme d’Études Supérieures en Comptabilité et Gestion à l’Université Gamal Abdel Nasser de Conakry entre 1995 et 1999. Ce cadre diplômé, pétri de talents et intellectuellement dense rafle, au Centre National de Formation et de Perfectionnement Professionnel, à Conakry, une autre distinction en 2002. Cette fois-ci au compte du cycle de formation initiale des lauréats de 2000 sur les Finances Publiques et la Rédaction administrative. Le précieux sésame détenu, le jeune gestionnaire comptable commence à rêver grand. Ainsi, il part à la conquête de l’expertise à l’Institut Supérieur de Management ISM de Dakar, au Sénégal où il décroche d’abord avec brio un Master 2, en 2016, en Expertise et Conseil Fiscal, avec pour thème de mémoire l’élargissement de la stratégie fiscale au secteur informel en République de Guinée ». Ensuite, en 2017, Aly Seydouba Soumah, dans le sillage de l’élargissement de l’horizon de ses connaissances, profite de son séjour dakarois pour empocher un autre Master 2 en Ingénierie Financière sur le thème Système Fiscal guinéen-Diagnostic et défis pour un développement durable. De Dakar, direction le Canada où il décroche un MBA dans la filière Maîtrise en Gestion des Organisations » en 2018. La fiscalité, la comptabilité et les finances n’ayant plus de secret pour lui, il parcourt d’autres pays comme le Maroc, le Bénin, le Burkina Faso, le Ghana, l’Italie, dans le cadre des rencontres d’échanges et de partage d’expériences. Auditeur de 1999 à 2001 au Cabinet d’Expertise Comptable et Commissariat aux Comptes Tafsir Audit et Conseils, il officie comme Auditeur Interne du 1er février au 31 août 2001 pour le Programme Intégré pour le Développement des Entreprises PRIDE-Finances . Occupant le poste de Chef de Section Comptabilité et Finances du 1er septembre 2001 au 28 février 2004, au compte du Projet d’Appui au Développement rural en Basse Guinée, il est nommé Chef de Brigade, Section Prestation de Services de 2016 à 2021. À ce poste, il se charge de la vérification générale de la Comptabilité des grandes entreprises comme Anglogold Ashanti de Guinée SAG, la Société Navale de Guinée, Ecobank, la CBG, UGAR, Port Autonome de Conakry, Mouna Group Technology, Bolloré Africa Logistic. Depuis 2021, Aly Seydouba SOUMAH est chef de Section Commerce-Vérification de la Comptabilité à la Direction Nationale des Impôts. Poste qu’il occupe jusqu’à sa nomination au poste de ministre de l’Énergie, de l’Hydraulique et des Hydrocarbures. Une consécration pour ce cadre rompu à la tâche, un sens élevé du casting pour le président de la transition, le Colonel Mamadi DOUMBOUYA qui veut ainsi bâtir une équipe de choc autour du tout nouveau Premier ministre, dans le dessein manifeste de faire de la refondation de l’État, une réalité en Guinée. Source Service de communication et des relations publiques du MEHH
Dansson beau livre, La Promesse de l’aube, Romain Gary raconte que sa mère, une Russe rêvant de la France, disait sans cesse à son fils adoré: «Il faut aller vivre en France, le pays où Monsieur le Président de la République du Rwanda, cher frère, Madame la Première Dame du Rwanda, Madame la Première Dame de Côte d’Ivoire, Monsieur le Vice-Président de la République de Côte d’Ivoire, Monsieur le Président de l’ Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire, Monsieur le Président du Sénat, Monsieur le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Madame et Messieurs les Présidents des Institutions de la République, Mesdames et Messieurs les membres des Gouvernements de la République du Rwanda et de la République de Côte d’Ivoire, Excellences Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs et Chefs de Mission diplomatique, Majesté, Honorables Chefs traditionnels et Guides religieux, Honorables invités, Mesdames et Messieurs les Représentants de la Presse et des Médias, Mesdames et Messieurs, Je voudrais, au nom du Gouvernement, de la Première Dame Dominique OUATTARA, et du peuple ivoirien, ainsi qu’en mon nom propre, souhaiter, à Son Excellence Monsieur Paul KAGAME, Président de la République du Rwanda, à Madame Jeannette KAGAME, Première Dame du Rwanda, et à l’importante délégation qui les accompagne, la chaleureuse et fraternelle bienvenue. Akwaba en Côte d’Ivoire ! Monsieur le Président, En acceptant notre invitation à effectuer cette visite officielle en Côte d’Ivoire, la toute première d’un Président rwandais, vous manifestez ainsi votre volonté d’oeuvrer au raffermissement des relations entre nos deux pays. Je voudrais donc vous dire notre grande joie de vous recevoir et l’ambition que je nourris de voir la coopération entre nos deux pays se développer et se diversifier davantage. Nous sommes heureux d’accueillir le Président de la République d’un pays ami et frère, mais aussi un grand patriote et un homme de conviction et de devoir, qui oeuvre inlassablement pour une Afrique digne et responsable. Monsieur le Président, Grâce à la résilience de son peuple, à votre vision et au grand destin que vous construisez chaque jour pour vos compatriotes, le Rwanda s’est relevé d’une histoire difficile. Le parcours de votre pays, pour bâtir son unité et devenir une référence en matière économique et de bonne gouvernance, inspire fortement la Côte d’Ivoire, qui est sortie d’une grave crise socio-politique en 2011. Grâce à la volonté et à la détermination du peuple ivoirien, mon pays a réussi à préserver son modèle de société et de vivre ensemble et à renouer avec le développement inclusif. Monsieur le Président, Aujourd’hui, le Rwanda peut être considéré comme l’un des porte-flambeaux de l’Afrique de par sa stabilité, et son économie qui fait partie des plus dynamiques du continent et du monde. Votre plan de développement Vision 2020 » et la stratégie Made in Rwanda » sont des modèles efficaces, porteurs d’une économie ouverte aux secteurs de pointe et qui libère l’innovation et le génie de votre peuple, en particulier de votre jeunesse. Je voudrais vous féliciter pour votre leadership dans la transformation digitale de l’Afrique, avec Smart Africa ainsi que pour votre politique du genre, qui est en tout point exceptionnelle. En effet, les femmes représentent près de 67% des députés et sont à la tête de plusieurs structures publiques de premier plan. Nous adhérons pleinement à cette politique et nous oeuvrons à ce que, chaque jour, la femme ivoirienne prenne davantage de place dans le développement et le bon fonctionnement de nos Institutions, ainsi que dans la marche de notre pays. Monsieur le Président, La Côte d’Ivoire, en vue de réaliser son ambition de devenir un pays émergent à l’horizon 2020, a mis en oeuvre d’importants chantiers de réformes structurelles et sectorielles, avec, en ligne de mire, la consolidation de la démocratie et de l’Etat de droit, des Institutions fortes, l’assainissement du climat des affaires pour une meilleure attractivité. La mise en oeuvre de notre Plan National de Développement PND 2012 -2015 et 2016 - 2020, a permis à la Côte d’Ivoire de réaliser des bonds qualitatifs impressionnants dans tous les secteurs économiques et sociaux. Il n’est donc pas surprenant que le Rwanda et la Côte d’Ivoire soient, depuis plusieurs années, parmi les pays les plus réformateurs au monde et affichent une croissance économique soutenue et solide. Au regard de ces performances, nos deux pays peuvent, à juste titre, être considérés comme les symboles d’une Afrique qui gagne ; une Afrique qui donne à espérer et à rêver. Je voudrais donc saisir l’opportunité de votre séjour, pour me réjouir de la qualité des relations entre le Rwanda et la Côte d’Ivoire. Ces relations s’expriment, notamment, par des voies multiformes dont l’établissement des relations diplomatiques, les visites réciproques de hauts responsables ainsi que la coopération agissante au sein des organismes régionaux et internationaux. J’ajoute à cela le pont qui existe désormais entre nos pays et nos peuples avec la desserte, depuis l’année dernière, de la ligne Abidjan - Kigali par la Compagnie aérienne rwandaise. Monsieur le Président, Si nous pouvons légitimement nous réjouir de ces points positifs, il convient de relever que sur le plan économique et commercial, les échanges entre nos deux pays ne reflètent pas l’excellence de nos relations. En effet, les statistiques en notre possession indiquent que les échanges commerciaux sont quasi-inexistants. Nous avons le potentiel pour changer cette situation et booster les échanges économiques et humains entre nos pays. C’est pourquoi, je me réjouis de votre présence ici, qui constitue une agréable occasion pour examiner les voies d’insuffler un nouveau dynamisme à nos relations économiques et commerciales, mais aussi d’explorer divers autres domaines de coopération. Monsieur le Président, cher frère, Notre continent est à un tournant décisif de son histoire. L’Afrique a décidé de prendre son destin en main et de mener des initiatives allant dans le sens d’un développement harmonieux et endogène. C’est donc sans surprise que vos Pairs africains vous ont désigné, en janvier dernier, pour conduire les destinées de notre organisation commune, l’Union Africaine, afin de mener, en toute efficacité, les réformes cruciales à la consolidation du processus d’intégration du continent. Avec la signature, le 21 mars 2018 à Kigali, de l’Accord sur la Zone de Libre-Echange Continentale ZLEC, lors du Sommet extraordinaire de notre Institution commune, c’est une étape décisive dans la mise en oeuvre de l’Agenda 2063 de l’Union Africaine que nous avons franchie. La réforme de notre Institution, dont vous êtes le Champion, a connu un succès sans précédent lors de notre Sommet extraordinaire des 17 - 18 novembre 2018, en Ethiopie, avec l’adoption de mesures qui consolideront l’indépendance et l’efficacité de l’Union Africaine. Nous devons poursuivre ce travail afin que chaque pays prenne sa part de responsabilité dans la bonne marche de l’Union et que les conflits cessent sur notre continent. Notre réussite sera totale lorsque la réforme de la Gouvernance mondiale sera effective. Je voudrais pour cela insister sur la nécessité de réformer profondément le Conseil de sécurité des Nations Unies afin que l’Afrique y soit représentée en qualité de membre permanent, et que cet organe important soit représentatif de la diversité de notre monde. Dans le cadre de la présidence ivoirienne du Conseil de sécurité, vous pouvez compter sur notre détermination à défendre les intérêts de l’Afrique et une vision solidaire des rapports internationaux. Pour terminer, je voudrais à nouveau vous remercier pour votre visite en Côte d’Ivoire ainsi que pour votre détermination à renforcer le partenariat entre la Côte d’Ivoire et le Rwanda. Honorables invités, Mesdames et Messieurs, Confiant en l’avenir radieux des relations ivoiro-rwandaises, je voudrais vous inviter à vous lever et à lever vos verres, à la santé et au bonheur du Président Paul KAGAME, ainsi qu’à la prospérité du peuple rwandais, afin que nous ouvrions une nouvelle page dans l’histoire des relations d’amitié et de fraternité entre le Rwanda et la Côte d’Ivoire. Vive la République du Rwanda ! Vive la République de Côte d’Ivoire ! Vive la coopération ivoiro-rwandaise! Je vous remercie. Rêverde la mort d’un président suggère que vous préférez acquérir des choses de qualités de façon à les faire tenir sur du long terme. Vous prenez plaisir à les bichonner de Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus. La pluie, la grêle, la foudre même et tous les guerriers du Walhalla réunis n’auront pas réussi à empêcher François Hollande de débarquer à Berlin fringant comme à la rosée du matin et feindre de ne pas remarquer l’accueil de sous-préfecture qui lui était pouvait alors penser que, même si le calendrier européen et international a ses exigences, rien n’obligeait le Président de la République à peine investi à se précipiter toutes affaires cessantes en Allemagne pour ce qui aurait pu passer pour une forme d’allégeance. Au vu de l’attitude récente de la Chancelière, la courtoisie commandait plutôt qu’elle se déplace à Paris. L’amitié franco-allemande n’en aurait pas été froissée….Mais François Hollande est décidément un drôle de zig. Cet amoureux de football – et pas seulement du PSG - préfère débuter sur terrain adverse, parce qu’il sait que les buts marqués à l’extérieur comptent double et qu’un match nul y est déjà une victoire. Et là, devant Angela Merkel verrouillée comme une défense italienne des années 70, Hollande s’en est donné à cœur joie, déroulant son jeu – croissance, croissance, croissance – avec la même insolence que celle qu’il avait imposé à Sarkozy lors de leur débat tout va bien. Les articles les plus lus Journal — Les affaires financières de La France insoumise Recommandés par nos abonnées Y9cbtSk.
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