Lebrave qui est tombe la tête haute La terre humide ne le recouvre pas Les vers ne le rongent pas La croix est comme une aile sur son dos II s’élève de plus en plus haut II rencontre les aigles et les anges dorés. 15. ICI LA LUMIERE. La rouille ne peut rien contre le marbre Ni les chaînes contre le vent Ni les chaînes contre le Grec Ici la lumière, ici le rivage Lèchent l’or et Sur TerreSoudain, les cieux s'ouvrirent, écartelés Par le fracas des bombes thermonucléaires Qui arrachent des lambeaux du sol craqueléAu cœur même d'un complexe libérée, réaction en chaîne Vaporisent et disloquent les bâtimentsLa boule de feu, l'onde de choc se déchaînent Détruisant tout, à faire fondre le s'abat sur les continents Et dans les océans, tout est vitrifiéLa Mort pleure, plus de vie ! C'est hallucinant !Avec le temps, le climat s'est millions d'années ont passées et un jourVenant de l'espace profond, un grand vaisseauLa nouvelle Arche s'est posée, aux alentoursDe l'engin, les traces de combats un voyageur astral sort de l’astronefIl scrute l’horizon, observe le soleilQui est toujours présent, là-bas, un reliefIntrigué par ce mont, reprend son gigantesque pyramide apparaîtIl entrevoit la porte, entre dans l’édifice Et au fond un autel, avec grand intérêtIl avance vers ce lieu de un des côtés, un étrange mausolée De métal et de verre, Il voit le corps humainFéminin et si parfaitement conservéFasciné, il croit que l’être lui tend les mains !L'extraterrestre vacille, bouleversé A voir allongé sur le marbre opalinLe corps figé par le temps, se sent transpercé II veut sortir l'aimée du tombeau briser le minéral et libérer La déesse, des serres de l'éternitéIl pleure en longs sanglots, il est désespéré Impuissant devant la splendide une larme tombe sur le sol poli Tout d'un coup, la salle s'emplit de lumière L'entité prend peur et soudain c'est la folieLe caveau s'ouvre, apparaît la ! À faire pâlir d'envie les plus beaux soleils Elle ouvre enfin ses yeux, d'un bleu azurDélivrée de son interminable sommeilMachinalement, refait sa douce vraiment surprise, prête à tomber Regarde autour d'elle, aperçoit la créaturePrès du tombeau, qui ressemble à un scarabéeElle crie de terreur, à voir cette est saisi, agite mandibulesPour lui faire comprendre qu'il veut l'apaiserLa rassurer, mais la femme sans préambuleLe tue, comme un scorpion au mortel baiser. La femme se penche sur le cadavre froid De la bête qui gît le thorax perforé Elle entrevoit et s'aperçoit avec effroi Que le monstre ne voulait pas la portait entre ses pattes griffues Les vêtements de la Dame, mais qu'ai-je fait ?Il voulait m'aider et n'était pas à l'affût D'une proie ! Elle remit enfin ses qui s'appelle Eve comprend son erreur Cherche désespérément les moyens de fuirDe quitter cet endroit maudit et de malheurPour sa vie, pour sa survie, à tout prix, s' des lieux, trouve l'engin spatial De la défunte victime, monte dedansLes moteurs hurlent, malgré le froid glacial Il faut décoller et éviter l' perdue dans l'océan interstellaire Décide d'être en état d'hibernationElle s'endort dans son caisson rectangulaireLe pire des dangers, les millénaire plus tard, le radeau céleste S'échoue, quel est ce pays aux abords ardentsEve demande où elle est à un être agreste Sur la Planète des singes, mon nom Adam !Eve est surprise, étonnée et déconcertéeAdam est vêtu tout de blanc, d'un beau costumeEt parle un français parfait, il veut l'alerter L'homme n'est pas Maître, ce n'est pas la coutume. Car le pouvoir est entre les mains des primates Ils font la loi, les humains, des animaux captifsAdam le sait, il en porte les stigmates Les singes savent corriger les tu es donc un esclave, un vil serviteurComment peux-tu subir cette servilité N'as-tu pas envie de combattre les auteursQui manquent tant envers toi, de explique à Eve qu'il est différent C'est le dernier des Neandertal, le mal Il ne l'a pas en lui et trouve aberrantQu'elle veuille tout changer, nuire à l' essaie de le convaincre, c'est la natureHumaine de dominer, maîtriser les élémentsAdam ne se plaint pas, a bonne nourritureIl n'a plus à chasser, les temps sont plus temps passe, l'amour entre les deux amants Prend place, Eve est désormais heureuse, enceinte Pour la première fois, devenir maman Et qui pourrait prédire si un jour sur Terre... Penséedes morts. Alphonse de Lamartine 1 0. Voilà les feuilles sans sève. Qui tombent sur le gazon, Voilà le vent qui s’élève. Et gémit dans le vallon, Voilà l’errante hirondelle . Qui rase du bout de l’aile : L’eau dormante des marais, 6 mai 2011 5 06 /05 /mai /2011 1353 Devant ma tombe, ne pleure pas. Je n y suis pas, je ne dors pas. Dans le ciel, je suis mille vents qui soufflent. Je suis l éclat du diamant sur la neige. Je suis la lumière qui éclaire les champs. Je suis la douce pluie d automne tombant doucement. Devant ma tombe, ne pleure pas. Je ne suis pas morte, je n y suis pas. Je suis les rivières qui courent, libres. Je suis les étoiles de l infini, je brille. Je suis les reves qui n ont pas de fin. Je suis le soleil qui caresse tes matins. En hiver, je suis la neige qui tombe à ta fenetre. Au printemps, je suis les fleurs de ton jardin. En été, je suis les vagues sur ta mer secrète. A l automne, je suis les feuilles où tu t endors. Je ne suis ni vérités, ni torts. Je suis la chanson qui ne finira jamais, Je suis l amour de la famille et de l amitié La nuit venue, je suis l enfant qui veut rester dans les bras de son père quand on veut le coucher. Je suis l air du soir parfumé Dans les cieux étoilés. Je suis la joie d une tache bien faite. Je suis l éternité dans l instant. Je suis la victoire dans la défaite. Je suis la lueur du soleil couchant. Quand tu penses à moi, Que ce soit en riant. Si tu as du chagrin en me raccontant, Je t en prie, oublie moi! Toujours là, tout prés de toi, Je suis dans la caresse du vent, Et tu peux entendre ma voix, dans le monde et tous ses chants. Je ne suis ni larmes, ni chagrins. Je suis dans toutes les heures. Je suis le souffle au creux de tes mains. je suis cette étincelle qui allume ton bonheur. Je suis la rose que tu tiens sur ton coeur, Douce et amère comme tes larmes intérieures. Je suis l ange qui a toujours veillé sur toi. Devant ma tombe, ne pleure pas. Je ne suis pas morte, je n y suis pas. Poeme attribué a Mary Frye Jai esssayé de traduire ce poeme en francais et j y ai ajouté une petite touche pardons à ceux qui n apprécient pas, et tant mieux pour les autres. Published by
- #Citation #Motivation #Poeme #AtlasMotivationLiker et s'abonner = BON KARMANe pleure pas devant ma tombe (Do not stand at my grave and weep)Poème de Mary Eli
Do not stand at my grave and weep Ne pleure pas devant ma tombe est un poème écrit en 1932 par Mary Elizabeth Frye Do not stand at my grave and weep, I am not there, I do not sleep. I am in a thousand winds that blow, I am the softly falling snow. I am the gentle showers of rain, I am the fields of ripening grain. I am in the morning hush, I am in the graceful rush Of beautiful birds in circling flight, I am the starshine of the night. I am in the flowers that bloom, I am in a quiet room. I am in the birds that sing, I am in each lovely thing. Do not stand at my grave and cry, I am not there. I do not die. et la traduction en français Ne vous tenez pas devant ma tombe en pleurant. Je n’y suis pas, je ne dors pas. Je souffle dans le ciel tel un millier de vents, Je suis la neige qui tombe doucement, Je suis les averses légères, Je suis les champs des blés qui mûrissent. Je suis le silence du matin, Je suis dans la course gracieuse Des magnifiques oiseaux qui volent, Je suis l’éclat des étoiles dans la nuit. Je suis dans chaque fleur qui s’épanouit, Je suis dans une pièce tranquille. Je suis dans chaque oiseau qui chante, Je suis dans chaque belle chose. Ne vous tenez pas devant ma tombe en pleurant, Je n’y suis pas. Je ne suis pas mort. Et chanté par une chorale, Libera Merci à Jean-Paul pour les corrections de la traduction en français 😉
Ne pleure pas devant ma tombe” Ne reste pas là à pleurer devant ma tombe, je n’y suis pas, je n’y dors pas Je suis le vent qui souffle dans les arbres. Je suis le scintillement du diamant sur la neige. Je suis la lumière du soleil
AccueilBillets d'humour et d'humeurNe pleure pas devant ma tombeJe pense à la mort tous les jours. Et parfois plusieurs fois par jour. Mais c’est la Vie qui m’obsède, me possède et m’enivre d’elle parfois. Ainsi face à la mort, j’ai rarement les mots, c’est le silence qui me donne son rythme et sa éprouvé un tel plaisir à écouter ce poème de Mary Elizabeth Frye et d’entendre le murmure de sa 22/07/ 569 total views, 1 views todaymort

Ellel’écrivit pour consoler une amie juive, Margaret Schwarzkopf, qui ne pouvait retourner en Allemagne pour se recueillir sur la tombe de sa mère à cause des tensions liées à l’antisémitisme. Elle intitula ce poème : « Ne pleure pas

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1juil. 2020 - J'aimerai aujourd'hui, partager avec vous ce poème : Ne pleure pas devant ma tombe, écrit en 1932 par Mary Elizabeth Frye.Ce poème pour lequel elle est deven Pinterest. Today. Explore. When autocomplete results are
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