LessƓurs d'Auschwitz, Heather Morris, Marie-Axelle de La Rochefoucauld, Charleston. Des milliers de livres avec la livraison chez vous en 1 jour ou en magasin avec -5% de rĂ©duction ou tĂ©lĂ©chargez la version eBook.
un dĂ©tail de l'Histoire", dixit J-M Lepen. Je suis le seul Ă  comprendre que cette phrase n'Ă©tait pas censĂ©e ĂȘtre outrageante mais que ça a juste provoquĂ© la rage parce que ça sortait de la bouche de Lepen? + Non je ne vote pas FN, je suis socialiste gauchololol BTG? ils ont pas compris qu'il a pas voulu dire ça positivement halal ces gaucho C'qu'il voulait dire, c'est que sur 2000 ans d'Histoire, 6 ans, c'est pas grand chose pk parler d"un sujet que tu ne maitrise pas . . . tu n'a rien Ă  dire mais tu fais quand meme ton TALC ... Je maĂźtrise peut-ĂȘtre pas mon sujet, mais je maĂźtrise plus la langue française que toi, jeune homme ca a durer bien plus que 6 ans . . . 1. je suis plus vieux que toi. 2. rĂ©ponse aussi stupide que ton 1er POST. donc je me demande pourquoi tu parles en fait Parce que mettre ton Ăąge en avant c'est intelligent? Et toi, pourquoi tu poste, exactement? Je ne reponderait pas, sinon je vais me faire ban je poste pour Ă©viter que tu ne raconte n'importe quoi. Tout le monde sait que les chambres Ă  gaz n'ont jamais existĂ©es . OLOLOLOLOLOLOLOLOL Ceci est une blague jeune pomme "C'qu'il voulait dire, c'est que sur 2000 ans d'Histoire, 6 ans, c'est pas grand chose " Sauf que 1/ la citation originale est " Je n'ai pas Ă©tudiĂ© spĂ©cialement la question mais je crois que c'est un point de dĂ©tail de l'histoire de la DeuxiĂšme Guerre mondiale »." 2/ l'histoire couvre plus de 2000 ans... beaucoup plus longtemps aussi. et avant cela il y avait les ghettos, ou les gens mourraient de faime aussi. Mes excuses, j'ai confondu camps de concentrations 1933 avec camps d'exterminations, mais n'empĂȘche que 22 ans, sur 2000 ans, c'est rien et en 2000 ans y'a eu beaaaaucoup de tuĂ©s et de gĂ©nocides freeway go relire ton livre d'histoire et de français Il a dit ça parce qu'il savait que ça ferait polĂ©mique, et ça marche De plus, ce n'est pas les camps de concentrations, mais les chambres Ă  gaz, qui seraient, selon JMLP un point de dĂ©tail. "1/ la citation originale est " Je n'ai pas Ă©tudiĂ© spĂ©cialement la question mais je crois que c'est un point de dĂ©tail de l'histoire de la DeuxiĂšme Guerre mondiale »." 2/ l'histoire couvre plus de 2000 ans... " 1 -> et zut, j'ai Ă©tĂ© victime de la dĂ©sinformation, alors 2 -> ça va dans mon sens donc pas grave Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ?
En1945, l'armĂ©e soviĂ©tique libĂ©rait le camp d'extermination d'Auschwitz oĂč plus d'un million de personnes ont Ă©tĂ© exterminĂ©es. Anna Rosenberg a 14 ans quand elle sort d'Auschwitz-Birkenau. Aujourd’hui, elle raconte l’irruption de l’horreur qui a brisĂ© son enfance paisible dans un village polonais. « J’avais 9 ans quand la guerre a Ă©clatĂ©.
Les camps de concentration Konzentrationslager, abrĂ©gĂ© par KL ou KZ faisaient partie intĂ©grante du rĂ©gime allemand nazi entre 1933 et 1945. Le terme dĂ©signait un camp oĂč des gens Ă©taient dĂ©tenus ou enfermĂ©s dans des conditions souvent pĂ©nibles et sans aucun respect pour les normes juridiques d'arrestation et d'emprisonnement d'une dĂ©mocratie constitutionnelle. Les premiers camps de concentration en Allemagne Les premiers camps de concentration en Allemagne furent créés peu aprĂšs la nomination d'Hitler au poste de chancelier en janvier 1933. Dans les semaines aprĂšs l'arrivĂ©e au pouvoir des Nazis, la SA Sturmabteilung ou Section d'assaut, la SS Schutzstaffel, escadron de protection, garde d'Ă©lite du parti nazi, la police et les autoritĂ©s civiles locales mirent en place de nombreux camps de dĂ©tention pour incarcĂ©rer les opposants, rĂ©els ou supposĂ©s, Ă  la politique nazie. Dans toute l'Allemagne, les autoritĂ©s allemandes Ă©tablirent des camps au fur et Ă  mesure des multiples arrestations d'opposants politiques prĂ©sumĂ©s. La SS mit en place de vastes camps Ă  Oranienburg au nord de Berlin, Ă  Esterwegen prĂšs de Hambourg, Ă  Dachau au nord-ouest de Munich, et Ă  Lichtenburg en Saxe. À Berlin mĂȘme, on dĂ©tenait des prisonniers faisant l'objet d'enquĂȘtes de la Gestapo, la police d'État secrĂšte allemande, dans les locaux de la Columbia-Haus, en service jusqu'en 1936. La centralisation du systĂšme concentrationnaire Lorsque la SS s'affranchit de la tutelle de la SA en juillet 1934, aprĂšs l'Ă©limination d'Ernst Röhm lors de la Nuit des longs couteaux, Hitler autorisa le dirigeant des SS, Heinrich Himmler, Ă  centraliser et organiser l'administration des camps de concentration. Celui-ci chargea le lieutenant gĂ©nĂ©ral SS Theodor Eicke, commandant du camp de concentration SS de Dachau depuis juin 1933, de cette mission, lui attribuant le titre d'Inspecteur des camps de concentration, une nouvelle section de la SS dĂ©pendant du Bureau principal. AprĂšs dĂ©cembre 1934, la SS devint le seul organe autorisĂ© Ă  crĂ©er et Ă  gĂ©rer les centres, qui prirent officiellement le nom de camps de concentration — ce qui n'empĂȘcha pas certaines autoritĂ©s civiles locales de continuer Ă  ouvrir des camps de dĂ©tention et de travail forcĂ© dans toute l'Allemagne. En 1937, il ne restait que quatre camps de concentration Dachau Ă  cĂŽtĂ© de Munich, Sachsenhausen prĂšs de Berlin, Buchenwald prĂšs de Weimar ainsi que le camp de femmes de Lichtenburg prĂšs de Mersebourg en Saxe. Les objectifs du systĂšme concentrationnaire On compare souvent les camps de concentration aux prisons d'une sociĂ©tĂ© moderne, ce qui est inexact, car ils ne dĂ©pendaient d'aucune entitĂ© judiciaire. Pour les Nazis, trois objectifs les justifiaient L'incarcĂ©ration de personnes perçues comme une menace pour la sĂ©curitĂ© du rĂ©gime incarcĂ©ration sans durĂ©e prĂ©dĂ©finie. L'Ă©limination physique d'individus et de petits groupes en dehors de tout contrĂŽle public ou judiciaire. L'exploitation de la population carcĂ©rale pour des travaux forcĂ©s, en raison de la pĂ©nurie de main-d'Ɠuvre. L'administration des camps de concentration En tant que commandant de Dachau en 1933, Eicke avait dĂ©jĂ  Ă©tabli une organisation et des procĂ©dures pour gĂ©rer et faire surveiller le camp. Il avait publiĂ© un rĂšglement sur les missions des gardiens et sur le traitement des prisonniers. Ce sont l'organisation, la structure et les pratiques mises au point Ă  Dachau en 1933-1934 qui servirent de modĂšle au nouveau systĂšme concentrationnaire nazi. Parmi les premiers Ă©lĂšves » d'Eicke Ă  Dachau se trouvait Rudolf Höss, qui, plus tard, prit le commandement du camp de concentration d'Auschwitz. D'abord chargĂ©es de garder les camps de concentration SS, des unitĂ©s politiques en alerte » Politische Bereitschaften furent renommĂ©es unitĂ©s de garde » SS-WachverbĂ€nde en 1935, puis unitĂ©s Ă  tĂȘte de mort » SS-TotenkopfverbĂ€nde en avril 1936. À chaque camp fut affectĂ©e l'une d'entre elles. AprĂšs 1936, le personnel qui administrait les camps, commandant inclus, en faisait Ă©galement partie. Si la reprĂ©sentation d'une tĂȘte de mort crĂąne et os figurait sur toutes les casquettes SS, seules les SS-TotenkopfverbĂ€nde Ă©taient autorisĂ©es Ă  la porter Ă  la boutonniĂšre. AprĂšs la crĂ©ation d'une division TĂȘte de mort » de la Waffen SS en 1940, leurs officiers, recrutĂ©s au sein du service des camps de concentration, arborĂšrent Ă©galement le symbole sur l'uniforme. Dans chaque camp, l'unitĂ© Ă©tait divisĂ©e en deux groupes. Le premier comprenait le personnel, constituĂ© des membres suivants Le commandant et son Ă©quipe Un policier de la SĂ»retĂ© et son assistant, chargĂ©s de tenir Ă  jour les dossiers des prisonniers Le commandant du camp dit de dĂ©tention protectrice » SchutzhaftlagerfĂŒhrer, qui abritait les prisonniers, et son Ă©quipe dont les agents chargĂ©s de l'affectation du travail et de l'appel, ainsi que le BlockfĂŒhrer, responsable des baraquements des prisonniers Un personnel administratif chargĂ© de l'administration fiscale et de l'approvisionnement du camp Une infirmerie gĂ©rĂ©e par un mĂ©decin SS assistĂ© d'un ou deux agents SS d'hygiĂšne et/ou des infirmiĂšres. Le second groupe constituait le dĂ©tachement de gardes SS-Wachbataillon, qui avant 1939 avait la taille d'un bataillon. Le modĂšle ainsi créé par Eicke au milieu des annĂ©es 1930 caractĂ©risa le systĂšme concentrationnaire jusqu'Ă  la chute du rĂ©gime nazi au printemps 1945. La routine quotidienne Ă  Dachau, les mĂ©thodes de rĂ©pression et les tĂąches du personnel SS et des gardiens devinrent la norme, avec quelques variantes, dans tous les camps de concentration allemands. L'habilitation Ă  incarcĂ©rer AprĂšs 1938, seule la police de sĂ©curitĂ© allemande composĂ©e de la Gestapo et de la police criminelle Ă©tait officiellement habilitĂ©e Ă  incarcĂ©rer des personnes dans les camps de concentration. Ce droit existait de facto depuis 1936. Le motif lĂ©gal » d'incarcĂ©ration Ă©tait soit l'ordre de dĂ©tention protectrice Schutzhaft, que la Gestapo pouvait dĂ©livrer depuis 1933 pour des personnes considĂ©rĂ©es comme prĂ©sentant un danger politique, soit l'ordre de dĂ©tention prĂ©ventive donnĂ© par la Police criminelle Vorbeugungshaft, en vigueur depuis dĂ©cembre 1937 pour des rĂ©cidivistes ou des personnes qui, d'aprĂšs le rĂ©gime, avaient un comportement asocial ». Aucun de ces ordres ne faisait l'objet d'un contrĂŽle judiciaire ou d'un examen par un organisme extĂ©rieur Ă  la police de sĂ©curitĂ© allemande. L'extension du systĂšme concentrationnaire Entre 1938 et 1939, avec les nouvelles conquĂȘtes territoriales de l'Allemagne nazie et l'augmentation du nombre d'individus considĂ©rĂ©s comme opposants politiques et asociaux, de nouveaux camps de concentration furent nĂ©cessaires. En septembre 1939, quand l'invasion de la Pologne dĂ©clencha la Seconde Guerre mondiale, il existait six camps de concentration sur le territoire dit du Grand Reich allemand Dachau fondĂ© en 1933, Sachsenhausen 1936, Buchenwald 1937, FlossenbĂŒrg 1938 dans le nord-est de la BaviĂšre prĂšs de la frontiĂšre tchĂšque de 1937, Mauthausen 1938 prĂšs de Linz en Autriche, et le camp de femmes de RavensbrĂŒck 1939 Ă©tabli dans la province de Brandebourg au sud-est de Berlin, aprĂšs la dissolution de Lichtenburg. Le travail forcĂ© DĂšs 1934, les commandants des camps de concentration dĂ©ployĂšrent des prisonniers comme travailleurs forcĂ©s pour des projets SS, notamment des chantiers de construction ou d'agrandissement des camps mĂȘmes. Entre 1934 et 1938, le rĂ©servoir de main-d'Ɠuvre constituĂ© par les travailleurs forcĂ©s incarcĂ©rĂ©s dans les camps ne cessa d'alimenter les divers projets de dĂ©veloppement des dirigeants SS. Pour mobiliser et financer de telles entreprises, Himmler rĂ©organisa et agrandit les locaux administratifs de la SS, puis crĂ©a un nouveau bureau pour les opĂ©rations commerciales. C'est le GĂ©nĂ©ral major SS Oswald Pohl qui dirigea l'ensemble, avant de prendre la tĂȘte de l'Inspection des camps de concentration en 1942. AprĂšs 1937, les considĂ©rations Ă©conomiques commencĂšrent Ă  avoir un impact croissant sur la sĂ©lection des sites des camps de concentration, ce qui devint plus systĂ©matique aprĂšs le dĂ©but de la guerre. Par exemple, Mauthausen et FlossenbĂŒrg furent placĂ©s Ă  proximitĂ© de grandes carriĂšres de pierre. De mĂȘme, les prisonniers, chargĂ©s de tĂąches Ă©reintantes et inutiles furent de plus en plus affectĂ©s par les autoritĂ©s des camps Ă  des travaux de rendement, non moins Ă©puisants et dangereux, dans les industries d'extraction carriĂšres de pierre, mais aussi mines de charbon et le travail de construction. Les camps de concentration aprĂšs le dĂ©but de la Seconde Guerre mondiale Avec le dĂ©clenchement de la Seconde Guerre mondiale par l'Allemagne nazie en septembre 1939, les conquĂȘtes territoriales allemandes et l'augmentation importante du nombre de prisonniers potentiels se traduisirent par l'extension rapide du systĂšme concentrationnaire vers l'est. Si les camps n'en demeurĂšrent pas moins des lieux de dĂ©tention pour les ennemis politiques, le climat d'urgence nationale suscitĂ© par le conflit permit Ă  la SS d'Ă©tendre leurs fonctions. Les camps de concentration devinrent de plus en plus des sites oĂč les autoritĂ©s SS pouvaient tuer des groupes ciblĂ©s d'ennemis rĂ©els ou supposĂ©s de l'Allemagne nazie. Ils en vinrent Ă©galement Ă  servir de centres de rĂ©tention pour un rĂ©servoir rapidement croissant de main-d'Ɠuvre forcĂ©e dĂ©ployĂ©e sur des projets de construction SS, des sites industriels d'extraction commissionnĂ©s par la SS, et Ă  partir de 1942, dans la production de matĂ©riel miliaire, d'armes et de biens liĂ©s Ă  l'effort de guerre allemand. MalgrĂ© le besoin de main-d'Ɠuvre forcĂ©e, les autoritĂ©s SS continuĂšrent dĂ©libĂ©rĂ©ment Ă  sous-alimenter et maltraiter les prisonniers incarcĂ©rĂ©s dans les camps de concentration, Ă  les affecter Ă  des travaux forcĂ©s sans tenir compte de leur sĂ©curitĂ©, gĂ©nĂ©rant des taux de mortalitĂ© particuliĂšrement Ă©levĂ©s.
Struthof des fouilles pour Ă©clairer le travail forcĂ© du seul camp de concentration français Par Le Figaro avec AFP PubliĂ© Ă  l’instant «Un haut lieu de terreur, de pleurs, de douleurs, de travail AccueilArtsÀ travers ses 1 078 photos, l’artiste Anton Kusters interroge la mĂ©moire et notre perception de ce "traumatisme indicible".1 078. C’est le nombre de camps de concentration qui existent et qui ont existĂ© en Allemagne durant le rĂ©gime hitlĂ©rien. C’est aussi le nombre de ciels qu’Anton Kusters a photographiĂ©s dans le cadre de son projet Blue Skies, qui fait l’objet d’un livre aux Ă©ditions Kehrer Verlag et d’une exposition aux Rencontres photographiques d’ Blue Skies, l’artiste a parcouru 177 828 kilomĂštres de territoire durant six ans pour immortaliser Ă  l’appareil photo instantanĂ© tous les ciels bleus surplombant ces camps nazis. Ces ciels officient comme “une maniĂšre troublante de regarder en face un traumatisme indicible et un oubli collectif”. “Comment nous percevons le traumatisme, comment nous dĂ©cidons de nous souvenir.”“Kusters dĂ©peint un univers parallĂšle au passĂ© horrible d’en dessous. [
] Ses photos interrogent comment ces ciels ont pu apparaĂźtre si tranquilles aprĂšs avoir servi de plafond Ă  un gĂ©nocide, et aussi, comment de nouvelles horreurs peuvent se continuer Ă  exister sous d’autres ciels bleus ?”, Ă©crit l’auteur et curateur Fred Ritchin dans l’ouvrage “documentaire et conceptuel” d’Anton Kusters.“Afin de localiser chaque site et de s’assurer que le ciel au-dessus Ă©tait bleu, Kusters consultait un GPS ainsi que des images satellites infrarouges en temps rĂ©el”, dĂ©taille le texte d’introduction de l’exposition Ă  Arles, oĂč tous ses Polaroid sont alignĂ©s sur une longue table. Il a tirĂ© ses informations des sept tomes de l’EncyclopĂ©die des camps et ghettos du United States Holocaust Memorial Museum pour connaĂźtre les noms et lieux des camps Breitenau, Taucha, Dippoldsau, Kirchham bei Pocking
Sur chaque photo, l’artiste a estampĂ© le nombre de victimes mortes dans ce camp, sous ces ciels bleus, en indiquant les donnĂ©es GPS. Tous ces camps ont existĂ© durant 4 432 jours, de 1933 Ă  1945. Plus de la moitiĂ© de ces camps n’est plus visible, et beaucoup d’autres demeurent encore inconnus. Bien que les images instantanĂ©es d’Anton Kusters finiront par s’estomper, leur nombre restera estampĂ© pour rappeler Ă  jamais les 4 016 736 personnes tuĂ©es dans ces camps de la sĂ©rie Blue Skies d’Anton Kusters est publiĂ©e dans un ouvrage aux Ă©ditions Kehrer Verlag et exposĂ©e aux Rencontres photographiques d’Arles jusqu’au 29 aoĂ»t arts, partenaire des Rencontres photographiques d’ voir aussi sur Konbini

Luiseul pouvait écrire ce livre-là. Michel Cymes n'est pas seulement le présentateur du Magazine de la santé, sur France 5, et le chouchou du Zapping, sur Canal+. Il

Les premiers camps de concentration furent ouverts en Allemagne mĂȘme. Par la suite, d'autres camps furent construits dons les pays occupĂ©s d'Europe centrale et orientale. IsolĂ©s, loin de tout tĂ©moin, les prisonniers y Ă©taient traitĂ©s encore plus camps renfermaient essentiellement des Juifs mais aussi des prisonniers politiques, des journalistes, des syndicalistes, des Tziganes, des homosexuels et des TĂ©moins de JĂ©hovah
 Les nazis tenaient des registres dans lesquels figurait le nom de chaque prisonnier, sa date d'arrivĂ©e, la raison de sa prĂ©sence dans le camp, les dĂ©lits commis, les chĂątiments infligĂ©s, la cause et la date du prisonniers se voyaient attribuer, Ă  la place de leur nom, un numĂ©ro qui Ă©tait tatouĂ© sur leur avant-bras. Les chĂątiments Ă©taient inhumains et les dĂ©tenus pouvaient ĂȘtre abattus au moindre prĂ©texte. La nourriture Ă©tait rationnĂ©e, les hivers rigoureux et les maladies faisaient des ravages. Les prisonniers dormaient dans de gigantesques dortoirs, jusqu'Ă  dix dans le mĂȘme lit. Nombre d'entre eux Ă©taient utilisĂ©s comme cobayes pour des expĂ©riences mĂ©dicales. D'autres Ă©taient conduits dans des usines voisines pour travailler comme L'opĂ©ration n'Ă©tait pas douloureuse et ne durait pas plus d'une minute, mais elle Ă©tait traumatisante. Sa signification symbolique Ă©tait Ă©vidente pour tous c'est un signe indĂ©lĂ©bile, vous ne sortirez plus d'ici ; c'est la marque qu'on imprime sur les esclaves et les bestiaux destinĂ©s Ă  l'abattoir, et c'est ce que vous ĂȘtes devenus. Vous n'avez plus de nom ceci est votre nouveau nom. » Primo Levi dans Les Naufrages et les RescapĂ©s Le tatouage n'Ă©tait pas une expĂ©rience agrĂ©able, surtout si on songe au cĂŽtĂ© primitif de l'appareil utilisĂ©. Il y avait du sang et une vilaine boursouflure aprĂšs. Mais l'expĂ©rience la plus traumatisante, ce fut le rasage du crĂąne. Je me sentis totalement vulnĂ©rable et rĂ©duite Ă  moins que rien. Je dus Ă©galement abandonner mes vĂȘtements, et je me suis retrouvĂ©e complĂštement nue, chauve, avec un numĂ©ro sur le bras. En l'espace de quelques minutes, on mavait privĂ©e de toute trace de dignitĂ© humaine et il n'Ă©tait plus possible de me diffĂ©rencier de tous ceux qui m'entouraient. »Anita, survivante de l'HolocaustePour en savoir plus, dĂ©couvrez nos dossiers sur le sort des enfants dans la Shoah,la genĂšse du gĂ©nocide avec les extraits de la sĂ©rie documentaire Jusqu'au dernier la destruction des Juifs d'Europe,l'histoire du conflit racontĂ© au travers d'images d'archives dans Apocalypse la DeuxiĂšme Guerre mondiale,des tĂ©moignages de personnes ayant vĂ©cu la Seconde Guerre mondiale dans Un village français, ils y Ă©taient...

Sonlivre La Grande Grippe, reconnu Meilleur livre de l’annĂ©e par l’AcadĂ©mie nationale des sciences des États-Unis, est considĂ©rĂ© comme l’ouvrage de rĂ©fĂ©rence sur la grippe espagnole. VĂ©ritable best-seller international, il est une

Citation concentration DĂ©couvrez une citation concentration - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase concentration issus de livres, discours ou entretiens. Une SĂ©lection de 30 citations et proverbes sur le thĂšme concentration. 30 citations > Citation de Henry David Thoreau n° 174092 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesLors d’un danger, la pensĂ©e magique surgit et donne Ă  croire que, par une intense concentration, la conscience a le pouvoir de modifier le rĂ©el. Alors tu dĂ©penses une Ă©nergie folle pour maintenir la conversation. Un mot de cet officier en uniforme devant l’homme nu et tout va se terminer lĂ , toutes les espĂ©rances, et mĂȘme toute l’existence. Les enfants de Cadillac 2021 de François NoudelmannRĂ©fĂ©rences de François Noudelmann - Biographie de François NoudelmannPlus sur cette citation >> Citation de François Noudelmann n° 173575 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 468 votesCe qui fait de Baptiste un vrai garçon, un garçon exceptionnel, c’est qu’il n’a besoin de rien pour en ĂȘtre un. À moi, cela demande une concentration permanente. Je dois toujours bien penser Ă  mettre une intention de garçon, de ce que j’imagine ĂȘtre un garçon, dans chaque phrase, chaque geste, chaque idĂ©e, parce que je vis dans la peur d’ĂȘtre dĂ©masquĂ© et cette peur est d’autant plus difficile Ă  maĂźtriser que je n’ai qu’une idĂ©e grossiĂšre de ce que doit dire, faire ou penser un vrai garçon. Un jour ce sera vide 2020 de Hugo LindenbergRĂ©fĂ©rences de Hugo Lindenberg - Biographie de Hugo LindenbergPlus sur cette citation >> Citation de Hugo Lindenberg n° 173336 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 468 votesQuand les quotidiens ont dĂ©cidĂ© de ne plus publier le nombre des contagions sur leur page d’accueil, j’ai Ă©prouvĂ© un sentiment de mĂ©contentement et de trahison. J’ai commencĂ© Ă  en consulter d’autres. Dans la contagion, l’information transparente n’est pas un droit c’est une prophylaxie essentielle. Plus un Susceptible est informĂ© – sur les chiffres, les lieux, la concentration de patients dans les hĂŽpitaux –, plus son attitude sera appropriĂ©e au contexte. Contagions 2020 de Paolo GiordanoRĂ©fĂ©rences de Paolo Giordano - Biographie de Paolo GiordanoPlus sur cette citation >> Citation de Paolo Giordano n° 168263 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 470 votesNous pourrions imaginer un univers qui ne serait que vrai, sans que la moindre idĂ©e de beautĂ© ne vienne l'effleurer. Ce serait un univers uniquement fonctionnel oĂč se dĂ©ploieraient des Ă©lĂ©ments indiffĂ©renciĂ©s, uniformes, qui se mouvraient de façon absolument interchangeable. Nous aurions affaire Ă  un ordre de robots » et non Ă  celui de la vie. De fait, le camp de concentration du XXe siĂšcle nous a fourni de cet ordre » une image monstrueuse. Cinq mĂ©ditations sur la beautĂ© 2006 de François ChengRĂ©fĂ©rences de François Cheng - Biographie de François ChengPlus sur cette citation >> Citation de François Cheng n° 166932 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 468 votesJ'aime aussi Ă©crire les conversations, de longs dialogues dans lesquels se mĂȘlent les mots prononcĂ©s et tout ce qui n'est pas dit mais se dĂ©chiffre entre les lignes. Mais, lĂ  encore, il faut savoir rester mesurĂ©, mĂȘme si ce n'est pas ma pente naturelle. Lire de la poĂ©sie m'aide Ă  cela ne pas trop Ă©crire, rester sobre, chercher la concentration, la compression, comme font les poĂštes. Portrait de Norman Rush, le romancier des utopies, TĂ©lĂ©rama, le 03/09/2015 de Norman Rush RĂ©fĂ©rences de Norman Rush - Biographie de Norman Rush Plus sur cette citation >> Citation de Norman Rush n° 165145 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesTout comme celui qui, dans un camp de concentration, a survĂ©cu mois aprĂšs mois et s'est habituĂ©, et enregistre froidement l'horreur qu'Ă©prouvent les nouveaux arrivants. La perception qu'il en a est anesthĂ©siĂ©e, comme celle qu'il a des morts et des meurtres quotidiens. Tous les textes des survivants tĂ©moignent de cette anesthĂ©sie, qui rĂ©duit les fonctions vitales, induit un comportement indiffĂ©rent et sans scrupule, banalise le gaz et les fours. [...] Les accusĂ©es me donnaient l'impression d'ĂȘtre encore prisonniĂšres, et pour toujours, de cette anesthĂ©sie, d'y ĂȘtre comme Liseur 1996 de Bernhard SchlinkRĂ©fĂ©rences de Bernhard Schlink - Biographie de Bernhard SchlinkPlus sur cette citation >> Citation de Bernhard Schlink n° 163650 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesJe ne voyais pas pourquoi il me fallait peiner Ă  l'Ă©cole, tout comme plus tard je n'eus pas la concentration nĂ©cessaire pour faire des Ă©tudes et obĂ©ir Ă  une discipline de vie et de travail. Il y avait toujours quelque chose qui me retenait. Je dĂ©viais toujours. En fait je n'ai pas fui les mariages et les emplois, j'ai simplement dĂ©viĂ©. Je ne pouvais vivre qu'en transit, ou bien entre deux chaises, comme on dit. DĂšs que j'Ă©tais installĂ© dans un appartement ou un emploi, les choses perdaient leur saveur. Je connaissais tout d'avance, et ce monde connu s'Ă©tendait devant moi comme un dĂ©sert. Comme je m'ennuyais ! Chien 1988 de Paul NizonRĂ©fĂ©rences de Paul Nizon - Biographie de Paul NizonPlus sur cette citation >> Citation de Paul Nizon n° 163199 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesEt de tous ces morts, les plus chanceux furent certainement les 850 premiers. La chambre Ă  gaz est l'unique point de charitĂ© du camp de concentration. La Storia 1974 de Elsa MoranteRĂ©fĂ©rences de Elsa Morante - Biographie de Elsa MorantePlus sur cette citation >> Citation de Elsa Morante n° 162227 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 467 votesLa chambre Ă  gaz est l'unique point de charitĂ© du camp de concentration. La Storia 1974 de Elsa MoranteRĂ©fĂ©rences de Elsa Morante - Biographie de Elsa MorantePlus sur cette citation >> Citation de Elsa Morante n° 162226 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesSans partager intĂ©gralement les phobies de sa fille et de son gendre, elle Ă©tait tout de mĂȘme d'accord avec eux pour reconnaĂźtre que nous Ă©tions une espĂšce en voie d'extinction. Nous avions peur et nos peurs Ă©taient aussi multiples et insidieuses que les menaces elles-mĂȘmes. Nous avions peur des nouvelles technologies, du rĂ©chauffement climatique, de l'Ă©lectrosmog, des parabĂšnes, des sulfates, du contrĂŽle numĂ©rique, de la salade en sachet, de la concentration de mercure dans les ocĂ©ans, du gluten, des sels d'aluminium, de la pollution des nappes phrĂ©atiques, du glyphosate, de la dĂ©forestation, des produits laitiers, de la grippe aviaire, du diesel, des pesticides, du sucre raffinĂ©, des perturbateurs endocriniens, des arbovirus, des compteurs Linky, et j'en passe. Quant Ă  moi, sans bien comprendre encore qui voulait nous faire la peau, je savais que son nom Ă©tait lĂ©gion et que nous Ă©tions contaminĂ©s. J'endossais des hantises qui n'Ă©taient pas les miennes mais qui frayaient sans peine avec mes propres terreurs enfantines. Sans Arcady, nous serions morts Ă  plus ou moins brĂšve Ă©chĂ©ance, parce que l'angoisse excĂ©dait notre capacitĂ© Ă  l'Ă©prouver. Il nous a offert une miraculeuse alternative Ă  la maladie, Ă  la folie, au suicide. Il nous a mis Ă  l'abri. Il nous a dit N'ayez pas peur. »Arcadie 2018 de Emmanuelle Bayamack-TamRĂ©fĂ©rences de Emmanuelle Bayamack-Tam - Biographie de Emmanuelle Bayamack-TamPlus sur cette citation >> Citation de Emmanuelle Bayamack-Tam n° 161194 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 470 votesLe marin Ă©jectĂ© est un marin qui a manquĂ© de concentration. Un vieux dicton dit Une main pour l'homme, une main pour le bateau. » Il dit juste. Au cours d'une manƓuvre ou d'un dĂ©placement sur le pont, on doit toujours veiller Ă  avoir une prise Ă  sa portĂ©e, parce qu'il est presque impossible qu'un paquet de mer puisse la faire du large de Eric TabarlyRĂ©fĂ©rences de Eric Tabarly - Biographie de Eric TabarlyPlus sur cette citation >> Citation de Eric Tabarly n° 153899 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 468 votesJe ne suis pas surpris qu'il soit Ă  la hauteur. Ce que j'ai vu et dĂ©couvert dans sa campagne, c'est son Ă©norme concentration, sa connaissance des dossiers, et son obsession Ă  ne pas faire de prĂ©sident ne devrait pas dire ça... 2016 de GĂ©rard Davet et Fabrice Lhomme de Manuel VallsRĂ©fĂ©rences de Manuel Valls - Biographie de Manuel VallsPlus sur cette citation >> Citation de Manuel Valls n° 150838 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 467 votesPar une concentration plus forte, j'aurai des poĂšmes sublimes, des monuments Ă©ternels et toute la matiĂšre sera pĂ©nĂ©trĂ©e des vibrations de ma cithare !La Tentation de Saint Antoine 1874 de Gustave FlaubertRĂ©fĂ©rences de Gustave Flaubert - Biographie de Gustave FlaubertPlus sur cette citation >> Citation de Gustave Flaubert n° 145102 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 467 votesElle a appris cela avec patience la respiration de la dormeuse. Cela demande une grande concentration, une application de chaque instant, mais maintenant elle y de mariĂ© 2009 de Pierre LemaitreRĂ©fĂ©rences de Pierre Lemaitre - Biographie de Pierre LemaitrePlus sur cette citation >> Citation de Pierre Lemaitre n° 139087 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 468 votesNous ne sanctifions pas nos gestes mais nos gestes nous sanctifient. RĂ©pĂ©tition, concentration, obsession... rien de grand ne s'est jamais accompli hors de cette triade c'est la dĂ©finition mĂȘme de l' MusĂ©e national 2000 de CĂ©cile GuilbertRĂ©fĂ©rences de CĂ©cile Guilbert - Biographie de CĂ©cile GuilbertPlus sur cette citation >> Citation de CĂ©cile Guilbert n° 129620 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesJe ne me sens toujours pas intĂ©grĂ© dans la vie normale. Les camps de concentration m'ont rendu prĂ©maturĂ©ment blasĂ©, m'ont fait perdre tout sentiment violent de peur, d'amour ou de du brouillard 2001 de Giuseppe Mustacchi, dit Georges MoustakiRĂ©fĂ©rences de Giuseppe Mustacchi, dit Georges Moustaki - Biographie de Giuseppe Mustacchi, dit Georges MoustakiPlus sur cette citation >> Citation de Giuseppe Mustacchi, dit Georges Moustaki n° 124385 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesDĂšs mon enfance je l'ai Ă©vitĂ©e, la masse, j'ai dĂ©testĂ© la foule, le rassemblement de gens, cette concentration de grossiĂšretĂ© et d'Ă©tourderie et de mensonge. Autant nous devrions aimer chacun en particulier, me dis-je, autant nous dĂ©testons la anciens 1985 de Thomas BernhardRĂ©fĂ©rences de Thomas Bernhard - Biographie de Thomas BernhardPlus sur cette citation >> Citation de Thomas Bernhard n° 88649 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesDans les camps de concentration nazis, les plus aptes Ă  survivre Ă©taient les prisonniers qui avaient une tĂąche Ă  remplir aprĂšs leur un sens Ă  sa vie avec la logothĂ©rapie 1988 de Viktor FranklRĂ©fĂ©rences de Viktor Frankl - Biographie de Viktor FranklPlus sur cette citation >> Citation de Viktor Frankl n° 85906 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 470 votesLes conclusions tirĂ©es des expĂ©riences vĂ©cues dans les camps de concentration prouvent que l'homme peut un sens Ă  sa vie avec la logothĂ©rapie 1988 de Viktor FranklRĂ©fĂ©rences de Viktor Frankl - Biographie de Viktor FranklPlus sur cette citation >> Citation de Viktor Frankl n° 85899 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 468 votes< 2Votre commentaire sur ces citations Dictionnaire des citations en C + ThĂšmes populaires + Autres belles citations et proverbes sur concentration Toutes les citations sur concentration Citations concentration Citation sur concentration Citations courtes concentration PoĂšmes concentration Proverbes concentration Etendez votre recherche avec le dictionnaire des dĂ©finitions DĂ©finition mot Concentration - DĂ©finition de concentration - Approchant concentrateAnglaisconcentrateThĂšmes populairesCitations d'amour Citations sur l'amour Citations sur l'amitiĂ© Citations sur la vie Citations sur le bonheur Citations sur les femmes Citations sur le couple Citations sur la sagesse Citations sur la tristesse Citations sur la mort Citations sur la nature Citations sur l'absence Citations sur le manque Citations sur l'enfance
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Le nazisme n’était pas qu’une histoire d’hommes. EngagĂ©es volontaires ou infirmiĂšres ayant fait le choix de se livrer Ă  la pire barbarie, de nombreuses femmes ont participĂ© aux crimes contre l’humanitĂ© perpĂ©trĂ©s par le rĂ©gime, alors mĂȘme que leur refus ou leur mise en retrait n’aurait pas constituĂ© un danger pour leur vie. Un bouquin, les Furies d’Hitler qui n’est pas le titre d’un film porno, de Wendy Lower, revient sur le parcours de nombre de femmes tortionnaires. 1. Irma Grese On surnommait Irma La hyĂšne d’Auschwitz, et non pas Madame Roudoudou, par exemple, ou Chaton d’amour, et y’a une raison Ă  ça. Irma Grese a Ă©tĂ© formĂ©e Ă  bonne Ă©cole, par Dorothea Binz au camp de Ravensburk. MutĂ©e Ă  Auschwitz en tant que surveillante-chef, elle donne toute la mesure de son talent en faisant preuve d’un sadisme terrifiant elle choisit des femmes plus jolies qu’elle et leur fait couper les seins avant de les laisser souffrir d’infection pour pouvoir les avoir sous sa coupe. Grese Ă©tait excitĂ©e sexuellement par leur souffrance. Grese abusait sexuellement certaines dĂ©tenues et pratiquait des assassinats sommaires. Elle a Ă©tĂ© condamnĂ©e en 1945 et exĂ©cutĂ©e par pendaison. 2. Maria Mandl Autre gardienne d’Auschwitz, Maria Mandl, la bĂȘte d’Aushwitz », avait elle une prĂ©fĂ©rence pour l’assassinat des enfants. Elle choisissait avec soin ceux qui devaient aller prendre une douche de gaz. Elle torturait Ă©galement les femmes avec beaucoup de mĂ©ticulositĂ© et prenait plaisir Ă  les voir agoniser de douleur. Elle avait plaisir Ă  punir des gens qui n’avaient rien fait de mal. ArrĂȘtĂ©e Ă  la libĂ©ration, elle a Ă©tĂ© pendue en 1948 Ă  Cracovie. 3. Erna Petri Petri Ă©tait une femme d’officier SS et n’exerçait pas Ă  proprement parler de fonction dans l’appareil nazi. EnvoyĂ©e au Pologne avec son mari, elle tombe un jour sur un groupe de 6 enfants morts de faim en rentrant des courses. Toute gentille, elle leur offre un peu Ă  manger et se rend compte qu’il s’agit d’enfants Ă©vadĂ©s d’un camp de concentration. Elle les emmĂšne alors dans la forĂȘt sous prĂ©texte de les cacher et les abat un Ă  un d’une balle dans la nuque. Elle a Ă©tĂ© condamnĂ©e en 1962 Ă  une peine de prison Ă  vie. 4. Johanna Altvater, dite "Frau Hanna" Simple secrĂ©taire, Johanna Altvater a sĂ©vi en Ukraine avec beaucoup de sĂ©rieux. Deux anecdotes la dĂ©finissent particuliĂšrement bien tandis que les nazis mettaient les ghettos Ă  sac, Johanna Altvater s’est rendu dans un dispensaire mĂ©dical qui accueillait des enfants. LĂ , elle a pris soin de bien choisir son gamin de prĂ©dilection pour l’emmener au troisiĂšme Ă©tage et le jeter par la fenĂȘtre. A un autre moment, elle a attirĂ© un tout petit enfant Ă  elle en lui promettant des bonbons avant de le saisir par les pieds devant ses parents et de lui fracasser le crĂąne contre un mur Ă  grands coups. Le tout de son propre chef, sans avoir reçu aucun ordre. 5. Liesel Willhaus Encore une sympathique petite dĂ©conneuse. Liesel Willhaus, femme de commandant nazi, asseyait sa petite fille Ă  ses cĂŽtĂ©s tandis qu’elle organisait des lĂąchers de juifs » dans le jardin de sa somptueuse villa et les tirait comme des lapins avec un fusil. Elle invitait les femmes de la meilleure sociĂ©tĂ© Ă  la rejoindre dans cette activitĂ© on ne peut plus rĂ©crĂ©ative. 6. Ilse Koch Epouse du commandant en chef de Buchenwald, la sorciĂšre de Buchenwald » avait une vraie passion pour la torture et les souvenirs. Elle conservait ainsi des coupes anatomiques de prisonniers qu’elle gardait et s’était mĂȘme construit un presse-papier avec la tĂȘte miniaturisĂ©e d’un officier russe. Ilse Koch choisissait les prisonniers tatouĂ©s qu’elle souhaitait voir mourir pour ensuite pouvoir arracher les morceaux de leur peau abritant des tatouages et complĂ©ter sa collec’. Ilse Koch a Ă©tĂ© condamnĂ©e Ă  la prison Ă  vie en Allemagne de l’Ouest, quelques annĂ©es aprĂšs la fin de la guerre. CrĂ©dits photo Domaine Public unknown soldier or employee of the Army Signal Corps 7. Gertrude Segel Comme Wiilhaus, Segel, mariĂ©e au commandant SS Felix Landau, avait une trĂšs jolie villa. VoilĂ  ce que racontent des tĂ©moins sur les activitĂ©s auxquelles elle s’adonnait en juin 1942, alors que des jardiniers juifs Ă©taient occupĂ©s Ă  travailler dans leur jardin, Felix Landau et Gertrude Segel se saisirent d’une carabine et s’installĂšrent, en tenue de bain, Ă  leur balcon. Ils commencĂšrent Ă  tirer des pigeons, mais comme ce n’était pas assez drĂŽle, ils se mirent Ă  viser les jardiniers juifs. Ils en abattirent un, en riant. Segel et Landau picolaient pas mal et chacune de leur sĂ©ance de beuverie se terminait par un petit massacre de juifs. Une activitĂ© comme une autre. 8. Pauline Kneissler InfirmiĂšre en BiĂ©lorussie, Kneissler Ă©tait chargĂ©e de faire des injections Ă  des enfants juifs pour les tuer. Elle Ă©tait chargĂ©e de choisir les personnes qu’il fallait assassiner et son choix ne se faisait pas uniquement sur des critĂšres mĂ©dicaux elle optait parfois pour des personnes tout Ă  fait bien portantes. Kneissler gavait ses proies de morphine avant de les gazer. Mais attention, Ă  son procĂšs, elle a dĂ©plorĂ© d’avoir fait ça mĂȘme si, bon, hein, le gaz, ça fait pas souffrir ». 9. Frau Apfelbaum Sous l’autoritĂ© du Commissaire Hanweg, en BiĂ©lorussie, cette frau Apfelbaum organisait des chasses au Juifs dans la forĂȘt de Lida avec lĂącher façon lapins et tout et tout. A. LA. COOL. 10. Dorothea Binz EngagĂ©e volontaire dans la SS Ă  19 ans, Dorothea Binz Ă©tait l’une des superviseuses du camp pour femmes de Ravensbruck. VĂ©ritable Ăąme du camp, Binz a notamment Ă©tĂ© en charge du dĂ©partement torture et assassinat ça devait pas s’appeler comme ça, et Ă©tait connue pour sa propension Ă  choisir les femmes les plus faibles ou les plus effrayĂ©es avant de les rouer de coups. C’est Ă©galement Ă  elle que l’on doit la formation des pires gradĂ©es nazies, dont Ruth Neudeck connue pour avoir tranchĂ© la gorge d’une femme avec une pelle, par exemple, ou encore Irma Grese.
BRX8h.
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