Tremblementde terre à Lisbonne. Le samedi 1er novembre 1755, Lisbonne (235 000 habitants) est frappée par trois secousses telluriques d'une exceptionnelle violence puis par plusieurs raz de marée. La catastrophe va avoir des répercussions immenses, pas seulement humaines et matérielles, mais aussi philosophiques et scientifiques.

17 janvier 2019 - 15h30 - Ecrit par Driouch avait connu une secousse le mois dernier Un léger tremblement de terre d’une magnitude de 4,2 degrés sur l’échelle de Richter s’est produit ce jeudi 17 janvier dans la région de Driouch, au nord du Maroc. D’après l’Institut national de géophysique ING, l’épicentre de cette secousse a eu lieu dans la commune de Tazaghine à 11H56 12 sec GMT+1, exactement. La secousse ressentie, d’une profondeur de 14 km, a été enregistrée à une latitude de 35,202°N et une longitude de 3,481°W, indique la même source. La dernière secousse tellurique qu’a connue la ville remonte à fin décembre dernier.

Desluttes armées de ses citoyens indépendantistes avec l’ancien colonisateur, le Maroc ou la Mauritanie se sont soldées par un contrôle militaire de facto de 80 % du territoire par le Maroc et des 20 % restants par le Front Polisario. Ce Front revendique le droit à l’autodétermination des 500 000 habitants du Sahara occidental. Il jouit d’une reconnaissance Le calme avant la tempête. Longtemps présenté comme un pôle de stabilité au Maghreb, le Maroc s’apprête à découvrir les affres de la crise politique. Pour contrer l’émergence de nouveaux acteurs, les grands partis politiques marocains revoient leurs alliances et leurs stratégies. À l’horizon un rapprochement improbable et dangereux entre royalistes et islamistes. La pérennité avec laquelle le royaume chérifien a traversé les différents bouleversements du monde musulman ces dernières années, des printemps arabes à la montée de l’Islamisme, a dessiné l’image d’un Maroc aux institutions politiques solides. Une image en trompe l’œil, quand on observe de près le jeu partisan qui se trame actuellement en coulisse, entre Marrakech, Rabat et les plaques tectoniques du monde politique marocain se sont mises à se mouvoir de manière inattendue, avec un risque accru de tremblement de terre. Le 10 février dernier, le Parti authenticité et modernité PAM élisait son nouveau secrétaire général, Abdellatif Ouahbi. La victoire d’un homme et de son courant, ouvertement favorables à une réconciliation et un rapprochement avec l’ennemi héréditaire, les islamistes du PJD. Un virage à 180 degrés pour une organisation créée en 2008 pour rassembler les différentes organisations partisanes favorables à l’institution royale et hostiles à la montée en puissance des retournement d’alliance » qui s’est fait dans la douleur, à l’issue d’un congrès houleux marqué par des tensions entre les différents courants du parti. Du côté du PJD, c’est le même son de cloche, et l’adversaire d’hier est devenu soudainement un allié potentiel en octobre dernier, l’élection de la Présidente PAM de la région de Tanger avec les voix du PJD avait déjà fait l’effet d’un petit big bang un PAM rural, libéral, défenseur des institutions et un PJD urbain, conservateur et contestataire, l’opposition de ces deux partis structurait jusqu’ici la vie politique marocaine. Ce rapprochement ne doit pourtant rien au faut que tout change pour que rien ne change Si nous voulons que tout reste tel quel, il faut que tout change » déclarait Tancrède dans Le Guépard de Visconti. Dans une Sicile bousculée par la révolution garibaldiste, le jeune aristocrate choisit la révolution… pour ne pas la également le pari du PAM et du PJD face à la montée en puissance de nouveaux acteurs, et principalement du Rassemblement National des Indépendants RNI, les deux mastodontes de la vie politique marocaine cherchent à renverser la vie politique marocaine, abolir les anciennes oppositions et en créer de nouvelles, afin de conserver leur leadership au Parlement et dans les grandes villes du le RNI et son président, l’actuel ministre de l’Agriculture Aziz Akhannouch, dérangent. Jeune, populaire et reconnu à l’étranger, ce dernier a transformé son parti en machine de guerre » en vue des prochaines élections législatives de 2021. Celui que la presse a surnommé la fusée Akhannouch » a dépoussiéré la manière de faire de la politique au Maroc et attire chaque année des dizaines de milliers de nouveaux militants, le RNI comptant aujourd’hui 180 000 adhérents. Inimaginable en 2016, quand l’homme d’affaires prend les rênes d’un parti mineur, endormi et rassurant auprès des électeurs que le PAM, mais rivalisant avec les islamistes du PJD auprès des catégories populaires, le RNI de Akhannouch sème la zizanie dans la classe politique marocaine, forçant les irréductibles adversaires d’hier à nouer un mariage contre nature, de la carpe et du lapin », pour juguler sa basculement pensé pour sauver leurs sièges lors des prochaines élections législatives qui menace l’équilibre politique du Maroc. La stabilité du Royaume repose traditionnellement sur deux piliers une monarchie populaire et un Islam local » puissant, structuré et pacifique. En se rapprochant des turbulents Islamistes du PJD, qui, au fur et à mesure des années, ont renforcé les relations ambiguës qu’ils entretiennent avec les milieux les plus extrémistes, le PAM jouerait-il avec le feu ?Alors que le pays connaît un ralentissement économique, cette crise semble survenir au plus mauvais moment. Les institutions politiques marocaines, qui ont fait preuve de solidité et de constance ces dernières décennies, vont devoir faire face à un séisme de grande ampleur. Certainsnous lançaient de petits signes amicaux de bienvenue et, la nuit même, celle du 23 au 24, ces deux villages furent détruits par un tremblement de terre. Encore aujourd’hui, nous Accueil Actualité Politique Société Economie Immobilier Culture Cinema Livre Musique People Sports Faits-Divers Monde Auto Emploi Formation Spéciaux Médias Menu Accueil Actualité Politique Société Economie Immobilier Culture Cinema Livre Musique People Sports Faits-Divers Monde Auto Emploi Formation Spéciaux Médias Flash Info Approximations et contrevérités L’argumentaire tunisien mis à nu Alerte météo Averses orageuses localement fortes ce dimanche Al Jayl Al Akhdar 457 millions DH pour la mise en œuvre de l’agropole du Loukkous Publié par MAP Date mai 11, 2005 Articles similaires Laissez un commentaire Copyright © 2021 by Aujourd'hui le Maroc.
Encoreun séisme à Al Hoceima. Un tremblement de terre de magnitude 3,5 degrés a été ressenti au large de cette province, fait savoir l’Institut national de géophysique
Le Monde Afrique Maroc Une vente organisée par Artcurial à Marrakech, au cours de laquelle risquent d’être dispersés des œuvres et des éléments de décoration, inquiète une association de sauvegarde du patrimoine. Pour ne rien manquer de l’actualité africaine, inscrivez-vous à la newsletter du Monde Afrique » depuis ce lien. Chaque samedi à 6 heures, retrouvez une semaine d’actualité et de débats traitée par la rédaction du Monde Afrique ». Les plafonds peints de l’hôtel marocain Rose du Dadès vont-ils être vendus à la découpe ? C’est ce que redoute l’association Mamma Mémoire des architectes modernes marocains, fondée par les architectes Imad Dahmani et Lahbib El Moumni pour veiller sur le patrimoine architectural moderne du royaume. Une crainte qu’alimente l’enchère publique organisée par Artcurial le 30 mai à Marrakech, au cours de laquelle risquent d’être dispersées une trentaine d’œuvres et d’éléments de décoration. Conçues par les artistes Mohammed Chabâa et Mohamed Melehi, ces œuvres ont été pensées pour l’hôtel et intégrées de manière pérenne à l’architecture », souligne l’association, à l’origine d’une lettre ouverte adressée le 24 avril au ministère de la culture et à la Fondation nationale des musées. Ne pas conserver ces bâtiments dans leur intégralité revient à oblitérer la mémoire de l’art moderne marocain », lit-on dans leur pétition publiée sur le site Avaaz. Dans nos archives Article réservé à nos abonnés L'œuvre d'un architecte-urbaniste Henri Prost Construit entre 1971 et 1972 à Kelaat M’Gouna, au sud du Maroc, par les architectes Abdeslem Faraoui et Patrice de Mazières, l’hôtel Rose du Dadès a fait partie du réseau touristique développé dans les zones rurales du royaume chérifien dans les années 1970. Il est considéré comme l’un des exemples du mariage réussi entre des créateurs et des architectes, et le témoignage des racines vernaculaires du groupe d’artistes de Casablanca. Sur le site la chercheuse Maud Houssais rappelle ainsi que Mohamed Melehi s’est inspiré pour le plafond d’une onde colorée qui habillait les mosquées rurales de la région du Souss, découvertes dans les années 1960. L’architecture locale avait aussi influencé les parois ajourées claustras de Mohammed Chabâa. Leur place est dans un musée » Sa fille, Nadia, insiste Il ne s’agit pas d’œuvres individuelles, mais d’intégrations, qui n’ont d’existence que là où elles ont vu le jour. » Pour l’héritière du peintre mort en 2013, la vente contrevient au droit moral des artistes et de leurs descendants. Directeur d’Artcurial Marrakech, Olivier Berman encaisse les attaques, mais veut dépassionner le débat. Je comprends le point de vue des ayants droit, confie-t-il, mais cet hôtel a été créé il y a cinquante ans et personne ne s’y est jamais intéressé, pas plus qu’à d’autres hôtels qui ont été vidés ou détruits. C’est au ministère de la culture de prendre ses responsabilités. » Ce dernier a justement annoncé le 13 avril sur Twitter le lancement d’une procédure de classement de l’hôtel, qui toutefois n’en interdirait pas la cession. Mais, les œuvres seront interdites de sortie du territoire marocain », confirme Olivier Berman qui estime qu’idéalement leur place est dans un musée ». Lire aussi Article réservé à nos abonnés Voyage immobile avec Corinne Vezzoni à Casablanca Pauline de Mazières, la veuve de l’architecte de l’hôtel, en est aussi convaincue. Voilà trois semaines, elle a envoyé une requête à la Fondation nationale des musées pour que ces intégrations soient préemptées par l’Etat et protégées dans un musée national. Un patrimoine marginalisé ou dénaturé » Sans nouvelle pour l’instant des autorités publiques, l’association Mamma prévoit de déposer une demande de classement des Roses du Dadès, mais aussi de deux autres établissements construits sur le même mode par le duo Faraoui-De Mazières l’hôtel Ibn Toumart à Taliouine, abandonné depuis longtemps, ainsi que les Gorges du Dadès, déjà vidé de ses décorations. Si le ministère de la culture accède à leur demande, ce sera indéniablement une première. Car, à ce jour, la loi de 1980 relative à l’inscription et la conservation des monuments historiques n’a presque jamais été appliquée aux bâtiments élevés après les années 1960. Sur la centaine de constructions classées par le ministère de la culture visibles sur son site, on ne relève que le village de vacances de Cabo Negro, construit sur le littoral de Tétouan par l’architecte Elie Azagury dans les années 1974-1985. Les bâtiments traditionnels marocains ont été protégés, observe Imad Dahmani, mais le patrimoine post-indépendance est marginalisé ou dénaturé. » Ainsi de l’hôtel Almoravides à Marrakech, datant de 1970-1972, dont les intérieurs ont été totalement dépecés dans l’indifférence générale. Certains bâtiments ont même tout bonnement été détruits, à l’image de l’Office national de thé, érigé en 1960-1962 par Elie Azagury et Henri Tastemain, puis démoli en 2018. Lire aussi Casablanca, laboratoire architectural du XXe siècle L’association Mamma a vécu comme une victoire la suspension provisoire, en février, des travaux d’aménagement du tribunal administratif d’Agadir, qui auraient altéré ce symbole de la reconstruction de la ville après le tremblement de terre de 1960. En 2018, au moment des journées du patrimoine, on a fait des conférences autour de cette architecture brutaliste, pour sensibiliser l’opinion, et aujourd’hui cela porte ses fruits », se félicite Lahbib El Moumni. Mais l’inscription au patrimoine n’est pas tout. Classée en 2000, la façade de l’ancien hôtel Lincoln érigé en 1914 à Casablanca s’est partiellement effondrée en décembre 2020, faute d’entretien. Si la loi interdit la démolition d’un bâtiment jugé historique, elle ne contraint pas son propriétaire à entreprendre une restauration. Roxana Azimi 1953La France dépose le sultan du Maroc Muhammad V. 1956 Indépendance de la Tunisie et du Maroc. 1957 Muhammad V, roi du Maroc. 1960 Tremblement de terre à Agadir au Maroc. 1961 Hasan II, roi du Maroc. 1973 Création du Front La République démocratique du Congo continue de faire face aux effets de l’éruption du mont Nyiragongo une semaine après son apparition, les sismologues ayant signalé 61 tremblements de terre sur une période de 24 heures samedi selon un rapport de CNN. Un rapport de l’Observatoire volcanique de Goma, consulté par CNN, a déclaré que le cratère du volcan continue de s’effondrer, ce qui a contribué au tremblement de terre et déclenché des émissions de cendres notables de Goma ». Nyiragongo est situé à seulement 15 km de Goma, qui compte 670 000 habitants. Au moins 400 000 ont fui la ville après que les autorités ont averti d’une deuxième éruption, qui a eu lieu aujourd’hui. Le volcan Murara, près d’un lieu inhabité des Virunga », est entré en éruption aujourd’hui, selon un porte-parole du gouvernement. La région abrite un quart de la population mondiale de gorilles de montagne en danger critique d’extinction. La première éruption a entraîné la mort d’au moins 31 personnes et fait des centaines de disparus. Au moins 13 personnes sont décédées à la suite d’accidents de la circulation, alors qu’un résident s’était éloigné d’un ruisseau de lave qui s’approchait de la ville. L’Organisation internationale pour les migrations a estimé que 20 000 personnes étaient sans abri. Trois villages et une zone de Goma avaient été détruits par la lave, qui s’est arrêtée à seulement 300 mètres de l’aéroport. Un autre risque avec des individus de Goma est celui d’une éruption limnique au lac Kivu voisin. Les éruptions limniques sont un phénomène où le dioxyde de carbone dissous dans l’eau pourrait être lancé, asphyxiant potentiellement les personnes et les animaux et rendant de vastes zones inhabitables.
Agadiraujourd’hui Aujourd’hui Agadir est une ville neuve, moderne et importante qui compte environ 600 000 habitants, avec ses grandes avenues bordées de palmiers, ses grands bâtiments blancs et ses quartiers résidentiels, Agadir est une ville très agréable à vivre.Agadir est aussi la plus grande station balnéaire au Maroc et la septième ville la plus importante du Royaume.
Il y a peu de risques de dommages à terre sur l’île de Sumatra. © Crédit photo Capture Google Maps Par avec AFPPublié le 23/08/2022 à 17h41Mis à jour le 23/08/2022 à 19h37 C’est la côte sud de l’île de Sumatra, en Indonésie qui a été touchée ce mardi par un tremblement de terre Un tremblement de terre d’une magnitude 6 a eu lieu mardi au large de la partie méridionale de Sumatra, dans l’ouest de l’Indonésie, a annoncé l’Institut sismologique américain USGS. L’épicentre du séisme, qui s’est produit à 16 h 30 heure française, est situé à une faible profondeur et à près de 50 km des côtes des provinces de Bengkulu, Sumatra du Sud et Lampung, toutes situées dans le sud de cette grande île. Des habitants de ces deux premières provinces ont fui leur logement, selon les médias locaux et des témoins. Toutefois, aucune victime ou aucun dégât n’ont pour le moment été signalés par les autorités et aucune alerte au tsunami n’a été émise. Mais l’Agence indonésienne de météorologie et de géophysique BKMG a recommandé à la population de faire attention aux éventuelles répliques ». Elle a précisé que l’épicentre du séisme se trouvait à environ 64 kilomètres de la partie méridionale de est située sur la ceinture de feu » du Pacifique, ce qui lui vaut d’être la proie de fréquents tremblements de terre. Le dernier séisme majeur qui a touché ce pays remonte à mars de magnitude 6,7, il a touché la côte occidentale de Sumatra. Il avait été suivi d’une série de fortes répliques. Le mois précédent, un tremblement de terre de magnitude 6,2 avait frappé la partie nord de cette île, y faisant au moins huit morts et des dizaines de blessés. Il avait notamment causé des dégâts à des maisons et à des mosquées
tremblement de terre au maroc aujourd hui
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